Periódico francês demonstra preocupação com o sumiço das abelhas, após a introdução dos inseticidas(há menos de trinta anos); em toda à comunidade européia. E, por causa disso, três quartos da população destes insetos voadores; desapareceu do continente europeu. E, enfatiza ainda, que a união europeia, precisa rapidamente retornar a proteger estes polinizadores: Depuis l’introduction des insecticides néonicotinoïdes, il y a moins de trente ans, les trois quarts des populations d’insectes volants ont disparu. Cet été, l’Union européenne a renoncé à protéger rapidement ces pollinisateurs.
Veja abaixo, o artigo do renomado jornal francês!
Il n’y aura pas de répit pour les abeilles. L’Union européenne a décidé de passer outre l’avis de ses propres experts, et de la communauté scientifique au sens large, dans la protection de ces insectes. Après six années d’atermoiements, l’un de ses comités techniques a adopté au cœur de l’été, le 17 juillet, un texte réglementaire parmi les plus lourds de conséquences pour l’avenir de la biodiversité sur le Vieux Continent.
= Não há nenhuma ação de trégua pelas abelhas. a união européia decidiu passar outro aviso a seus próprios especialistas, e à comunidade cientifica em larga escala, visando a proteção destes insetos. Após seis anos de propostas, um de seus comités técnicos adotou no verão, dia 17 de jujho, um texto regulamentando uma das mais pesadas consequências para o futuro da biodiversidade sobre o velho continente.
Le texte en question – une mise à jour des principes d’évaluation des effets des pesticides sur les abeilles – fait l’impasse sur l’essentiel des recommandations de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA),
l’agence d’expertise officielle de l’Union. L’écrasante majorité des mesures proposées par l’agence sont renvoyées à un examen ultérieur, au mieux, après l’été 2021. Et ce, alors que l’EFSA fait savoir depuis le printemps 2012 que les tests réglementaires actuels ne protègent pas les abeilles et les pollinisateurs sauvages (bourdons, abeilles solitaires, papillons, etc.). Interdits depuis fin 2018 en Europe, les trois principaux insecticides néonicotinoïdes (imidaclopride, clothianidine et thiaméthoxame) pourraient ainsi être remplacés par des produits aussi problématiques.
O texto em questão- atualízado (ou aprovado) nos principios das evoluções dos efeitos dos pestícidas sobre as abelhas- fez (ou criou) um impasse sobre o essencial das recomendções da autoridade européia de segurança alimentar(EFSA).
= Não há nenhuma ação de trégua pelas abelhas. a união européia decidiu passar outro aviso a seus próprios especialistas, e à comunidade cientifica em larga escala, visando a proteção destes insetos. Após seis anos de propostas, um de seus comités técnicos adotou no verão, dia 17 de jujho, um texto regulamentando uma das mais pesadas consequências para o futuro da biodiversidade sobre o velho continente.
Le texte en question – une mise à jour des principes d’évaluation des effets des pesticides sur les abeilles – fait l’impasse sur l’essentiel des recommandations de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA),
l’agence d’expertise officielle de l’Union. L’écrasante majorité des mesures proposées par l’agence sont renvoyées à un examen ultérieur, au mieux, après l’été 2021. Et ce, alors que l’EFSA fait savoir depuis le printemps 2012 que les tests réglementaires actuels ne protègent pas les abeilles et les pollinisateurs sauvages (bourdons, abeilles solitaires, papillons, etc.). Interdits depuis fin 2018 en Europe, les trois principaux insecticides néonicotinoïdes (imidaclopride, clothianidine et thiaméthoxame) pourraient ainsi être remplacés par des produits aussi problématiques.
O texto em questão- atualízado (ou aprovado) nos principios das evoluções dos efeitos dos pestícidas sobre as abelhas- fez (ou criou) um impasse sobre o essencial das recomendções da autoridade européia de segurança alimentar(EFSA).
Nouvelles générations de pesticides systémiques
Ce nouveau report d’au moins deux ans dans l’adoption de nouveaux « tests abeilles » intervient alors que les études soulignant l’effondrement des populations d’insectes pollinisateurs succèdent aux alertes du monde apicole. La plus marquante de ces études, publiée en octobre 2017 dans la revue PLoS One, suggère que la biomasse d’insectes volants a chuté de plus de 75 % entre 1989 et 2016 dans une soixantaine de zones protégées d’Allemagne. Avec un pic à plus de 80 % de déclin lorsque la mesure est faite au cœur de l’été.
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